Established by his family, this bursary aims to encourage new writers by giving them the means to have their plays read by professional actors. Harry used to write a script and, after it was read by actors, revise it. “They make me hear everything that's wrong with my script !” he used to say. Writing, having it read, rewriting, having it read again, etc. That was Harry's method. Harry's first readers were always actors. And it was his regular practice, at La Porte Rouge, to gather actors together to read and then discuss the ongoing drafts of his works in progress.  Last season's Sakura (presented at Centaur) was developed this way.  All of Harry's plays were developed this way (and we do not have sufficient time here to list all of the actors who — over the years — have partaken in this process. You are many).  It is a practice that we, at La Porte rouge, want to continue and perpetuate, by opening regular slots in our schedule where untried scripts by new authors may be given a readthrough with actors followed by a discussion.  Let's call it «Harry's Playwrights Bursary”  at La Porte rouge». And you're all invited to partake.

La bourse Harry Standjofski a été créée afin d'honorer la mémoire de ce grand homme de théâtre montréalais. Fondée par sa famille, cette bourse vise à encourager de nouveaux auteurs en leur donnant les moyens de faire lire leur pièce par des acteurs professionnels. Harry avait l'habitude d'écrire un texte et, suite à sa lecture par des acteurs, de le réviser. "Ils me font entendre tout ce qui ne va pas dans mon texte" avait-il l'habitude de dire. Écrire, faire lire, réécrire, refaire lire, etc. Ça c'était la méthode Harry....

Deux individus, un agité et bavard, l'autre taciturne et silencieux sont devant le public pour présenter leur spectacle: Hamlet de William Shakespeare. L'un dans un castelet de bric et de broc. L'autre assis sur une chaise à côté.  Celui dans le castelet va rejouer la tragédie du Prince Hamlet en attribuant les rôles à des objets. Mais sa maladresse, son emballement et ses multiples écarts rendent la représentation de plus en plus bancale. Secondé par celui d'à côté (bruitage, musique et autres effets), coûte que coûte, ils raconteront le terrible destin du Danemark.    Ce duo raccourcit en 60 minutes une pièce qui dure plus de quatre heures.

Une volonté de popularisation des grands classiques anime cette création originale qui n'hésite pas à puiser dans les références cinématographiques afin de toucher du doigt le drame et malaxer le rire du public.

DATES:

OTNI no.2 :  13 et 14 fevrier 2026, 19h30

OTNI no.3 : 3 et 4 avril 2026, 19h30

Où: Au studio d’essai de la porte rouge, 750b rue Mistral. (salle de 70 à 80 personnes)

Conditions de production:

1- Durée du projet proposé: de 5 à 10 minutes

2- modèle UDA “partage de recettes" pour les deux performances.

3- Tarif réduit pour les répétitions dans nos studios.

4- Pour votre projet vos besoins techniques doivent être minimaux: 2 3 heures de mise au point technique vous sera offerte avant la première.

POUR PROPOSER UN PROJET:

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfILiIY-26vW_9RQJvNPZqQjhuLVR4oJLtg0gCYNl2YqUiCXw/viewform